Série
Dans la même série
Les secrets de Greystone Manor
12/12/2013
JoelleD -
Mou, plein de longueurs... Brenda Joyce me déçoit terriblement ici.
20/02/2014
Kamaliza C -
07/01/2013
Marie-Eve C -
11/01/2013
AURELIE V -
Les amants ennemis est le premier tome de la série Greystone Manor de Brenda Joyce. J’ai craqué pour ce roman à cause de l’auteure que j’ai découvert grâce à une lecture commune. Je n’avais pas trop apprécié L’héritière de Rosewood au contraire de Francesca Cahill & de ce dernier livre. J’aime l’écriture de Brenda Joyce qui a toujours le don de mettre une touche de suspens au bon moment. On reste sur notre faim à certains passage alors on se dépêche d’avancer pour savoir ce qui arrive aux héros.
Les personnages évoluent dans un contexte historique difficile même s’ils sont en Angleterre mais en 1793 cette dernière affronte les armées françaises en France. Le contexte historique & politique donne beaucoup de tension. On craint pour les personnages qu’il ne leur arrive malheur. Il est vraiment difficile de vous parler du roman sans vous dire ce qu’il s’y passe. Je pense que c’est un peu fait exprès. On ne peut pas dévoiler la romance sans évoquer tout ce qui va arriver à Julianne et Dominic. Je peux seulement vous recommander de mettre le nez dedans car déjà :
1. C’est Brenda Joyce & on est rarement déçu avec cette auteure.
2. Julianne & Dominic sont un couple qui détonne.
3. Le contexte historique est très bien exploité.
4. Il y a beaucoup de suspens & de tension.
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23/02/2014
everalice -
http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ Lorsque Dominic Paget, comte de Bedford, membre de la très haute et très puissante aristocratie anglaise, croise la route de Julianne Greystone, fille d'un hobereau de province, aux convictions jacobines affirmées, en 1793, il y a peu de place pour le badinage, la légèreté, l'humour ou le batifolage. Tout dans ce roman se lit à travers les répercussions d'un contexte historique lourd, âpre, et sanguinaire. Pas de concession romantique, les héros ne se font pas de cadeau, se jouent d'eux-mêmes, se trahissent, se heurtent, ancrés dans leurs déterminismes politiques et sociaux. J'ai d'ailleurs pensé, lors de ma lecture, au roman d'Anne Stuart, dont une partie du très sombre et haletant roman, Séducteur sans scrupule, se déroule à la même époque.
Comme l'écrit Brenda Joyce, c'est l'histoire de "deux amants séparés par la politique et la guerre. Lui, un prince, elle, une terne fille de la campagne..".
Le roman se lit sans ennui, en tension, mais plus une tension romanesque qu'une tension romantique. Si ces deux amants-là partagent, au-delà des impératifs de leurs convictions et de leurs engagements, une flamme peu commune, leur histoire d'amour a manqué, selon moi, un peu d'envergure, de démesure ou de folie, étouffée qu'elle est sous le boisseau de l'histoire.
Les scènes d'amour sont d'ailleurs à peine esquissées - à tel point que je me suis demandée s'il n'y a pas eu des coupures à la traduction -, et le dénouement, très rapide, m'a carrément laissée sur ma faim - après un nombre aussi important de rebondissements et de retournements de situation, il m'a en effet paru bien plat et un rien convenu.
Toutefois, il n'occupe que quelques pages et le roman dans son ensemble garde tout son intérêt, ne serait-ce que pour ses qualités d'écriture et l'interprétation romanesque du contexte, l'avènement de la Terreur en France - ainsi que sur ses répercussions en Angleterre...
J'aime beaucoup les romans qui se passent à cette époque, ils sont assez rares pour être remarqués. Donc si c'est aussi votre cas, ne boudez pas votre plaisir !
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Comme l'écrit Brenda Joyce, c'est l'histoire de "deux amants séparés par la politique et la guerre. Lui, un prince, elle, une terne fille de la campagne..".
Le roman se lit sans ennui, en tension, mais plus une tension romanesque qu'une tension romantique. Si ces deux amants-là partagent, au-delà des impératifs de leurs convictions et de leurs engagements, une flamme peu commune, leur histoire d'amour a manqué, selon moi, un peu d'envergure, de démesure ou de folie, étouffée qu'elle est sous le boisseau de l'histoire.
Les scènes d'amour sont d'ailleurs à peine esquissées - à tel point que je me suis demandée s'il n'y a pas eu des coupures à la traduction -, et le dénouement, très rapide, m'a carrément laissée sur ma faim - après un nombre aussi important de rebondissements et de retournements de situation, il m'a en effet paru bien plat et un rien convenu.
Toutefois, il n'occupe que quelques pages et le roman dans son ensemble garde tout son intérêt, ne serait-ce que pour ses qualités d'écriture et l'interprétation romanesque du contexte, l'avènement de la Terreur en France - ainsi que sur ses répercussions en Angleterre...
J'aime beaucoup les romans qui se passent à cette époque, ils sont assez rares pour être remarqués. Donc si c'est aussi votre cas, ne boudez pas votre plaisir !