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Les avis des lectrices sur ses livres
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http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ Jolie couverture et résumé engageant...
Et j'ai plutôt bien aimé le tome 1.
Eh bien que "la force de la passion" les emporte au loin, ces deux héros-là, le plus loin possible, même,et je dirai "bon vent"... tant je suis exaspérée.
Le credo d'Amelia, répété à peu près toutes les cinq pages...
I WANT TO HELP ("Je veux aider.")
I AM WORRIED ABOUT YOUR CHILDREN ("Je m'inquiète pour vos enfants.")
ARE YOU IN DANGER? ("Etes-vous en danger?")
... a vite fini par me hérisser.
J'avais l'impression de lire les aventures d'un Saint-Bernard (en plus, on peut imaginer le tonneau, elle aime bien boire son petit alcool le soir avant de se coucher. Quant à lui, il ne dirait pas non). Mais un Saint-Bernard en mode carpette, en plus, prête à tout accepter de cet homme qui l'a abandonnée sans un mot, comme un sacré goujat, dix ans auparavant. Et elle, bonne pomme, elle accourt au retour du héros ténébreux -> le fameux "I Want To Help".
Le héros ne relève pas non plus le niveau, à vrai dire : pleutre qui passe son temps à pleurer (bon d'accord, il est traumatisé par la prison française et la guillotine), mais aussi mari lâche qui n'a pas hésité à abandonner sa femme (ben c'était un mariage de raison, quoi??) et ses enfants (mais lui, son crédo, "LES ENFANTS D'ABORD", tombe à plat, sachant qu'il a du les voir cinq fois au cours de leur vie), égoïste et sans parole. Il n'a pas arrêté de se défiler et je n'ai toujours pas bien compris ce qu'il ressentait pour Amelia . Qu'est-ce qui peut le rattraper? Euh... J'y réfléchis encore.
Bon, énervée, déçue, voilà, c'est dit, mais c'est pour la bonne cause : il faut avoir lu de ces romans qui vous hérissent le poil pour mieux apprécier les divines friandises que l'on est parfois amenées à savourer ! Or celui-ci, dans le genre, ne m'a pas laissée indifférente (c'est déjà ça). [ + ] -
Virginia apprend que son oncle projette de vendre Rosewood, la plantation familiale incendiée pendant la guerre de Sécession. Ni une ni deux, et refusant de se séparer de la maison de son enfance, elle embarque pour l’Angleterre avec l'espoir de convaincre son oncle de renoncer à son projet. Mais rien ne se passe comme prévu, car son navire est attaqué par le redoutable corsaire, Devlin.
Virginia est une jeune femme de dix-huit ans, qui est loin d'être une jeune femme comme le veut l'époque, elle a un caractère bien trempé et sait ce qu'elle veut. Elle m'a immédiatement séduite par son caractère et sa volonté à mettre tout en œuvre pour atteindre son objectif et ce n'est pas Devlin qui dira le contraire.
Notre héros, lui est un jeune homme qui est assez dure, arrogant, qui s'est forgé une réputation à faire pâlir bien des pirates et car à celui qui se trouve sur son chemin, d'ailleurs, il est surnommé le pirate de sa majesté, d'ailleurs, on comprend son comportement dû à ce qui nous est révélé dès le début de l'histoire. Mais au fils des pages, on ressent très bien, le combat intérieur, qu'il mène pour garder son objectif même si par moment, j'ai eu envie de lui dire, mais bon sens prend enfin la décision qui s'impose et ouvre les yeux, car il faut bien dire que les étincelles sont bien présente entre nos deux héros. Qui flanchera le premier ?[ + ]
Une très belle romance historique qui m'a charmé, stupéfaite, envoûté, happé, attendris, qui m'a fait passer un très très bon moment de lecture, moi qui suis fan de ce type de romance, je n'ai pu qu'être séduite par l'histoire de ses deux héros qui ont eu ce petit quelque chose qui m'a littéralement pris dans leur filet tel une araignée tissant sa toile. Je n'ai pu qu'avoir un coup de cœur pour cette sublime et féerique histoire. -
A propos de Le meilleur de la romance historique : Régence
Posté par clemence s le 04/12/2019 à 09:41
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A propos de Le meilleur de la romance historique : Régence
Posté par Aurélie J le 22/01/2016 à 15:31
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J'ai adoré ce roman que j'ai lu en 48h à peine! C'est un excellent roman historique, bien documenté avec de nombreux personnages. On est vraiment plongé dans l'histoire dans tous les sens du terme. Les personnages sont très bien construits. En revanche, Meg agace presque à douter en permanence et à s'enteter. Mais bon cela reste une très belle histoire d'amour pleine de rebondissements et d'actions. C'est vraiment le genre de roman historique que j'aime ! Peut -être un petit regret quand même que les scènes d'amour se limitent à chaque fois à une ligne :)
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http://leslecturesdeveralice.blogspot.com/ La belle comtesse Evelyn d'Orsay, anglaise mariée très jeune à un aristocrate français, vit depuis quatre ans en Cornouailles. Surprotégée par son époux et entièrement dévolue à son foyer et à sa fille, elle se retrouve bien démunie lorsque le Comte d'Orsay meurt des suites d'une longue maladie. Son unique espoir, estime-t-elle alors, réside dans l'aide de Jack Greystone, le contrebandier qui les a aidés à fuir la France révolutionnaire.
Jack, un aventurier solide comme un roc, un farouche contrebandier amoureux fou de la mer et épris de dangers, se veut libre de toute attache. Cette femme, si belle soit-elle, ne l'enchaînera certainement pas. Ni son sens du devoir, ni ses instincts de protection ne lui font entendre raison. Il se méfie d'elle comme de la peste. Mais Evelyn, aidée par un oncle soucieux de son avenir, parvient à obtenir son aide. Or dans cette époque mouvante, assombrie de dangers et de ùmensonges, les jeux de l'espionnage et de la guerre contre les Français républicains vont empêcher les deux amants de vivre pleinement leur histoire, surtout que Jack reste froid et distant.
Me voici donc arrivée au bout de ma lecture et ma question est la suivante : pourquoi Brenda Joyce n'aime-t-elle pas ses héroïnes?
En voici encore une, et à la suite de celle du tome précédent, cela commence à faire beaucoup, que j'aurais bien secouée comme un prunier en lui demandant de bien vouloir se remuer un peu. Evelyn est un petit modèle de très jolie jeune femme, qui a vécu une enfance difficile, à la mode Cendrillon. On pourrait croire qu'elle en serait sortie aguerrie et prête à croquer la vie à pleines dents, puisqu'elle est désormais Comtesse d'Orsay, peu fortunée, certes, mais qui a bien profité de la vie ces dernières années.
Et bien pas du tout. Evelyn passe son temps à s'inquiéter, à larmoyer, à pleurnicher, à se morfondre et à compter ses sous. Elle ne cesse de crier à tout vent "moi, moi, moi", car l'alibi de la fille est bien transparent, jusqu'à se montrer parfois d'une bêtise et d'une naïveté à pleurer. Jack est un contrebandier, ET un espion, habitués depuis de nombreuses années à cotoyer le danger. Cela lui met-il la puce à l'oreille? Que nenni ! Jack est ce qu'il paraît être, un vilain méchant. Jack la bat froid et le repousse. Mais il part en France pour ses beaux yeux, craque et la met dans son lit, et ne cesse de vouloir la prémunir du danger. Mais Jack est un fripon qui ne l'aime pas du tout, du tout, bouh, le pas gentil... Jack se bat pour un idéal. Mais, brouhh, que la guerre est dangereuse et vilaine. Mieux vaut rester chez soi à soigner ses massifs...
Bref, vous l'aurez compris, j'ai eu du mal avec l'héroïne.
Et aussi avec le fait que les scènes d'amour sont, encore une fois, à peine effleurées : on se croirait dans un Harlequin des années 80. Avec quelques longueurs par là-dessus...
Et c'est grand dommage, car le héros a beaucoup de charisme, malgré sa froideur et sa résistance. Il a un vrai caractère et ne se laisse pas traiter comme une serpillière. Par contre, il ne rêve que de... protéger la si belle Evelyn, car elle éveille en lui tous les côtés très mâles de sa virilité, même s'il s'en défend. C'est d'ailleurs à peu près la seule qualité qu'il lui trouve... euh, sa fragilité ! Et sa beauté, évidemment !
Par contre, le background historique est très cohérent et sûrement bien documenté. Brenda Joyce a su recréer l'atmosphère délétère et dangereuse de l'époque, peuplée d'espions et tendue par les événements de la future guerre de Vendée. Dommage que le héros s'en lave finalement les mains, son investissement politique (à noter, on est du côté anglais, donc royaliste, mettez votre mouchoir sur vos idéaux républicains) est balayé par les violences auxquelles il assiste à la fin de l'aventure. Bon, on est dans un Harlequin, il fallait bien que le héros accepte de rentrer au bercail.
Pour résumer, si vous aimez, comme moi, cette période révolutionnaire, vraiment très rare dans les romances, prenez le temps de découvrir ce titre. Apprécier, ou non, l'héroïne, est purement subjectif, et ce dernier tome peut plaire, j'imagine. [ + ] -
Je n’ai pas du tout aimée. L’héroïne est une menteuse, elle passe sont temps à mentir et à dissimuler les choses. Quant au héros, il n’y a pas une seule ligne qui met en lumière son point de vue. Nous ne voyons l’histoire que du point de vue de l’héroïne et ça crée un très gros creux dans l’histoire. Je la trouve aussi idiote, toujours à se poser des questions bêtes bref nul. [ + ]