L'auteur
A propos de l'auteur
Maisey Yates a publié son premier roman en 2009 - à seulement 23 ans ! Aujourd'hui, son quotidien est constitué d'incessants allers-retours entre sa machine à café (à laquelle elle voue un amour éternel) et sa table de travail, où elle donne vie à des héroïnes irrésistibles. Lire la suite
Maisey Yates a publié son premier roman en 2009 - à seulement 23 ans ! Aujourd'hui, son quotidien est constitué d'incessants allers-retours entre sa machine à café (à laquelle elle voue un amour éternel) et sa table de travail, où elle donne vie à des héroïnes irrésistibles. Lire la suite
Série
Dans la même série
5ème Avenue
Cynthia007 - 25/09/2015
j'ai envie de le lire
Sarah - 17/10/2015
J'ai adorer !
Lee - 16/11/2015
Belle Histoire. j'ai kiffe grave 
loucy - 11/10/2015
sa donne envie de le lire
karline - 27/10/2015
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Un premier tome alléchant et croustillant à souhait . On ne tombe pas forcément dans les clichés posés par 50 nuances de Grey et sans être d'une incroyable originalité, on passe un bon moment de lecture et on en redemande, d'autant que Katy et Austin sont attachants avec leur passé douloureux et leur manque d'assurance dans le présent. On s'attache à eux et à leur histoire . Je me lancerai sans attendre dans la suite de cette série prometteuse.
Mon avis en intégralité sur Un brin de lecture : http://www.unbrindelecture.com/2015/10/5eme-avenue-tome-1-save-me-de-maisey.html
Entre le père salaud, dominateur, faisant du trafic féminin ayant créé un réseau de prostitution à coup de chantage et de violence auprès de pauvres femmes perdues et du fils qui vient de découvrir la vérité, qui depuis 10 ans se déteste, rempli de remords de part le suicide de son amie Sarah (maitresse du père, malgrès elle), de plus, il rencontre la soeur de cette dernière, un courant passe entre eux et il se révéle être un dominateur sexuelle..... Poouufffff, c'est une lecture un peu pesante et qui s'avère être longue ! Des chapitres à répétition, la culpabilité, les remords, la peur de ressembler à son père..... Poouuffffff, on en voit pas la fin !